Terre Vierge un premier recueil de poèmes symbolistes et fantastiques vient de sortir.
J'imagine qu'en tant que poète débutant (il s'agit ici d'un vieux recueil d'il y a quelques années jamais édité) je découvre un nouveau monde, celui de la poésie. Alors je décris ce que j'y vois et ce que j'y ressens comme si je découvrais une nouvelle terre vierge, tel un continent inexploré et inconnu, et ce, à bord d'une nef celle des poètes...
Exemple d'une mer déchaînée telle que je la vois : "Sous l'air froissé, les roches de porcelaine déchirent les flots en fusion..."
L'érotisme n'y est pas absent pour autant, normal chez un jeune homme : "C'est au soleil du pré de cristal qu'est l'extase, que des seins de chair versée emplissent la beauté".
Et le mystère est omniprésent à chaque fois que j'écris : "Au ciel d'églantiers et de boules d'or des grands feux s'éteignent aux griffes et renaissent aux seins nus remplis d'opales, aux raisins bleutés, dans des fleurs ornementales; mais un bruit, tout se brise..."
Et le fantastique encore et toujours qui me fascine : "Par la lucarne ténébreuse de la folie comme un jargon inconpréhensible, tandis qu'une illusion se dévoile un pauvre fou voit un lierre criblé de lutins verts."
J'imagine qu'en tant que poète débutant (il s'agit ici d'un vieux recueil d'il y a quelques années jamais édité) je découvre un nouveau monde, celui de la poésie. Alors je décris ce que j'y vois et ce que j'y ressens comme si je découvrais une nouvelle terre vierge, tel un continent inexploré et inconnu, et ce, à bord d'une nef celle des poètes...
Exemple d'une mer déchaînée telle que je la vois : "Sous l'air froissé, les roches de porcelaine déchirent les flots en fusion..."
L'érotisme n'y est pas absent pour autant, normal chez un jeune homme : "C'est au soleil du pré de cristal qu'est l'extase, que des seins de chair versée emplissent la beauté".
Et le mystère est omniprésent à chaque fois que j'écris : "Au ciel d'églantiers et de boules d'or des grands feux s'éteignent aux griffes et renaissent aux seins nus remplis d'opales, aux raisins bleutés, dans des fleurs ornementales; mais un bruit, tout se brise..."
Et le fantastique encore et toujours qui me fascine : "Par la lucarne ténébreuse de la folie comme un jargon inconpréhensible, tandis qu'une illusion se dévoile un pauvre fou voit un lierre criblé de lutins verts."